DES ROSES EN HIVER

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DES ROSES EN HIVER
un téléfilm de Lorenzo Gabriele2015

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Jean, 80 ans, atteint d’une maladie incurable a décidé de cesser le traitement et de mettre fin à ses jours. En compagnie de son épouse Madeleine, il l’annonce à ses enfants qui sont choqués d’apprendre cette décision. Elsa, Thomas et Julien, leurs enfants, réagissent chacun de façon très différente, mettant en évidence leurs personnalités, leurs fragilités, les rapports qu’ils entretiennent entre eux, et avec leurs parents. Elsa, mère divorcée de deux enfants, est bouleversée tandis que Thomas, l’aîné, reste apparemment insensible et le cadet, Julien, surprotégé, semble comprendre la décision annoncée. Fortuitement, Elsa découvre que sa mère, bien décidée à ne pas se retrouver seule, prépare également mais secrètement son « grand départ ». Paradoxalement, c'est bien la vie, ici, qui aura le dernier mot, donnant la force à chacun d’affronter, le moment venu, cette séparation pour l’éternité…

Images du film

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REVUE DE PRESSE

Note d'intention de Lorenzo Gabriele concernant DES ROSES EN HIVER

A-t-on le droit de choisir le moment où l’on veut quitter ce monde ? C’est une question d’actualité, mais bien plus que cela, une question intime qui nous interpelle tous et résonne profondément en nous.

Note de production de Sylvette Frydman concernant Des Roses en Hiver

La télévision permet aux spectateurs de se distraire mais aussi d’entrer dans la matière des grands débats sociétaux. C’est à ceci que nous réfléchissons en choisissant des sujets qui vont illustrer une politique de développement de fictions qui s’appuient sur une recherche artistique et une exigence de qualité.

Le Figaro
JEAN-PIERRE MARIELLE FACE À LA FIN DE VIE SUR FRANCE 2

France 2 s'inscrit ce soir dans un thème de société au cœur de l'actualité : la fin de vie. Le service public propose une fiction au casting impeccable, porté par le couple Jean-Pierre Marielle-Mylène Demongeot, puis un débat à 22 h 15...

L'Express
L'AMOUR DANS LA PEAU

Jean-Pierre Marielle et Mylène Demongeot dans un téléfilm. Impossible d'y résister...

Production note (french)

DES ROSES EN HIVERun film de Lorenzo Gabriele– Note de production – La télévision permet aux spectateurs de se distraire […]

Project note by Lorenzo Gabriele (french)

DES ROSES EN HIVER (Roses In Winter)un film de Lorenzo Gabriele– Note d’intention du réalisateur – A-t-on le droit de […]

TV Mag
DES ROSES EN HIVER

Le thème n'est pas gai, mais la fiction n'est pas triste...

groupe25images.fr
Des roses en hiver au Festival de La Rochelle 2014

DES ROSES EN HIVER : entretien filmé avec Sylvette Frydman productrice, Lorenzo Gabriele réalisateur, Mylène Demongeot, François Vincentelli, acteurs et […]

Note d'intention de Lorenzo Gabriele concernant DES ROSES EN HIVER

A-t-on le droit de choisir le moment où l’on veut quitter ce monde ? C’est une question d’actualité, mais bien plus que cela, une question intime qui nous interpelle tous et résonne profondément en nous. Un des points de départ du scénario est la mise en parallèle de deux souffrances : celle de Jean, épuisé par les traitements de son cancer sans espoir de rémission, avec au bout l’issue certaine de la mort. Et celle de Madeleine, pour qui le départ choisi de Jean provoque une souffrance morale si insurmontable qu’elle envisage de s’en aller avec lui. L’onde de choc qui se propage sur leurs trois enfants déjà adultes va provoquer une vraie remise en question de chacun des personnages, et réveiller dans la famille les non-dits et les problèmes du passé.

Et c’est cette idée maîtresse qui m’a énormément séduit dans le projet. Plutôt que de traiter uniquement du problème sociétal qu’est l’euthanasie, le scénario aborde sur le ton de la tragi-comédie le point de vue de ceux qui restent, et questionne sans cesse leur humanité et leur rapport aux autres, dans un univers familial très fort. Je veux faire un film de contrastes, à la fois touchant, poignant, et porteur d’espoir, naturel et fort en sentiments, à l’image de la vie.

Visuellement, le film sera élégant et simple. L’esthétique et la mise en scène s’inspireront de tous les détails de nos existences. Des cadres signifiants, où parfois l’oeil navigue pour aller chercher ce qu’il veut voir, une lumière douce, un traitement simple, coulant comme une évidence.

Je veux aussi transmettre au spectateur une impression de vérité, en favorisant dans tous les domaines du film la sincérité, naviguant de manière fine entre la profondeur et la légèreté. Cette impression de naturel, de vérité, sera également renforcée par le choix des décors et des costumes. Tous les départements artistiques s’efforceront d’achever cette vision et d’embarquer le spectateur dans un univers qu’il connaît bien : celui de la vie, si belle et si cruelle parfois.

Au niveau de la direction d’acteurs, je favoriserai aussi la sincérité des sentiments humains. Pour moi, les choses importantes passeront autant par les regards et les attitudes, que par les dialogues, pour apporter au film une vraie profondeur.

Plus qu’un film sur la mort, je veux faire une ode à la vie, un film qui fait réfléchir, et dont les personnages nous ressemblent et nous rapprochent par notre humanité commune.

Lorenzo Gabriele
Auteur – Réalisateur

Note de production de Sylvette Frydman concernant Des Roses en Hiver

La télévision permet aux spectateurs de se distraire mais aussi d’entrer dans la matière des grands débats sociétaux. C’est à ceci que nous réfléchissons en choisissant des sujets qui vont illustrer une politique de développement de fictions qui s’appuient sur une recherche artistique et une exigence de qualité.

Évoquer la mort, entrer dans les questions qui nous envahissent lorsque l’inéluctable survient, ne nous a pas semblé un sujet noir et pessimiste même s’il est forcément empreint d’une immense tristesse, voire d’une grande douleur.

La perspective de quitter des êtres chers : ses parents, est évidemment l’occasion de se replonger dans les non-dits, dans les souvenirs de l’enfance, dans les incompréhensions qui résident dans toutes les familles, de faire un arrêt sur soi-même, de se découvrir (enfin…) en s’affrontant à cette situation à la résonance absolue.

C’est précisément pour cette raison que le sujet nous a semblé incontournable, plus qu’émouvant mais oh ! combien porteur d’une grande force, d’une véritable subtilité, de mélancolie, d’amour tout simplement...

Paris, le 21 octobre 2013
Sylvette Frydman
Productrice, Responsable de l’Unité Fiction TV
Le Figaro

JEAN-PIERRE MARIELLE FACE À LA FIN DE VIE SUR FRANCE 2

Et si on osait les regarder, voire parfois sourire avec les personnages qui prennent vie ce soir sur France 2... Car il fallait oser pour accepter le scénario de ce téléfilm poignant.

«Je ne me suis pas posé de questions avant d'accepter ce rôle, se souvient Mylène Demongeot. D'abord parce que le réalisateur [Lorenzo Gabriele, ndr] m'a dit que j'étais son premier choix. Ensuite parce que c'est un sujet qui me touche particulièrement. Je fais partie de l'ADMD [Association pour le droit de mourir dans la dignité, ndr] depuis de nombreuses années. Il ne faut pas faire subir à nos proches cette terrible dégradation de l'être humain.»

 

Quant à son mari dans la fiction, Jean-Pierre Marielle, là aussi la décision de jouer ce rôle difficile fut une évidence.

«C'est un sujet grave, profond, bouleversant, mais traité avec une simplicité, une pudeur, une sensibilité qui m'ont touché. Il m'a même semblé que c'était plus profond que d'interpréter simplement un rôle. Cela allait plus loin que la démarche de l'acteur.» Son personnage, âgé de 80 ans, est atteint d'une maladie incurable. Un jour, réunissant la famille autour de lui, il leur annonce qu'il a décidé de cesser son traitement thérapeutique et de mettre fin à ses jours dignement. Sa femme, une fois passé le choc de la nouvelle, est bien décidée à le suivre. Et c'est l'impact sur les trois enfants, leur façon de vivre ce choix qui leur est imposé, que décrit le téléfilm.

François Vincentelli, qui joue l'un d'eux, raconte avoir été bouleversé par ce tournage.

«Dans la vie, j'ai un rapport quasi filial avec Jean-Pierre Marielle depuis que nous avons joué ensemble au théâtre en 2003.» Alors, sur certaines scènes, l'émotion n'était pas que «jouée». Elle irradiait. Léa Drucker avoue que, jusqu'à ce tournage, elle avait peu conscience de ce sujet. «Je comprends ce que désire le père de mon personnage, mais aussi qu'en tant que fille elle puisse être scandalisée qu'il veuille quitter ses enfants. Égoïstement, on a envie de profiter jusqu'au bout de ceux qu'on aime.»


À savoir

82 ans, l'âge du comédien principal de Des roses en hiver, Jean-Pierre Marielle. Né le 12 avril 1932, il totalise plus d'une centaine de films à son actif. L'acteur n'est pas rare à la télévision car il était déjà tête d'affiche d'un téléfilm de Josée Dayan en 2013.
L'Express

L'AMOUR DANS LA PEAU

Le scénario, signé Anne Valton, Luc Jabon et Lorenzo Gabriele, n'a pourtant rien de léger. Jean, 80 ans, une épouse adorée (Mylène Demogeot), un cancer incurable, décide de recourir au suicide assisté, en Suisse, pour abréger ses souffrances. La famille, sonnée par cette mort annoncée, vacille. La femme de Jean refuse de lui suirvivre et se prépare elle aussi à s'en aller sur la pointe des pieds. Leurs trois enfants, Elsa (Léa Drucker), Thomas (François Vincentelli) et Julien (Aurélien Wiik), se heurtent, se blessent, se recroquevillent sur leur chagrin, trébuchent sur leur enfance passée. Les vérités éclatent et la vie pose ses derniers jalons. Les premiers flocons de neige sur le rire d'une ado. Une conversation absurdement drôle avec un fonctionnaire. Un dîner aux chandelles entre vieux amoureux. Il faut une mise en scène d'équilibriste pour éviter le pathos facile de ces jours fragiles. Celle de Lorenzo Gabriele chemine à Pas de loup sur ce fil tendu entre ombre et lumière. Une poignée de cendres s'envole dans le vent bleu, c'est fini. C'était beau.

S.B.

Production note (french)

DES ROSES EN HIVER
un film de Lorenzo Gabriele
- Note de production -

La télévision permet aux spectateurs de se distraire mais aussi d’entrer dans la matière des grands débats sociétaux. C’est à ceci que nous réfléchissons en choisissant des sujets qui vont illustrer une politique de développement de fictions qui s’appuient sur une recherche artistique et une exigence de qualité.

Evoquer la mort, entrer dans les questions qui nous envahissent lorsque l’inéluctable survient, ne nous a pas semblé un sujet noir et pessimiste même s’il est forcément empreint d’une immense tristesse, voire d’une grande douleur.

La perspective de quitter des êtres chers : ses parents, est évidemment l’occasion de se replonger dans les non-dits, dans les souvenirs de l’enfance, dans les incompréhensions qui résident dans toutes les familles, de faire un arrêt sur soimême, de se découvrir (enfin…) en s’affrontant à cette situation à la résonnance absolue.

C’est précisément pour cette raison que le sujet nous a semblé incontournable, plus qu’émouvant mais oh ! combien porteur d’une grande force, d’une véritable subtilité, de mélancolie, d’amour tout simplement...

Paris, le 21 octobre 2013
Sylvette Frydman
Productrice, Responsable de l’Unité Fiction TV

Project note by Lorenzo Gabriele (french)

DES ROSES EN HIVER (Roses In Winter)
un film de Lorenzo Gabriele
- Note d'intention du réalisateur -


A-t-on le droit de choisir le moment où l’on veut quitter ce monde ? C’est une question d’actualité, mais bien plus que cela, une question intime qui nous interpelle tous et résonne profondément en nous. Un des points de départ du scénario est la mise en parallèle de deux souffrances : celle de Jean, épuisé par les traitements de son cancer sans espoir de rémission, avec au bout l’issue certaine de la mort. Et celle de Madeleine, pour qui le départ choisi de Jean provoque une souffrance morale si insurmontable qu’elle envisage de s’en aller avec lui. L’onde de choc qui se propage sur leurs trois enfants déjà adultes va provoquer une vraie remise en question de chacun des personnages, et réveiller dans la famille les non-dits et les problèmes du passé.

Et c’est cette idée maîtresse qui m’a énormément séduit dans le projet. Plutôt que de traiter uniquement du problème sociétal qu’est l’euthanasie, le scénario aborde sur le ton de la tragi-comédie le point de vue de ceux qui restent, et questionne sans cesse leur humanité et leur rapport aux autres, dans un univers familial très fort. Je veux faire un film de contrastes, à la fois touchant, poignant, et porteur d’espoir, naturel et fort en sentiments, à l’image de la vie.

Visuellement, le film sera élégant et simple. L’esthétique et la mise en scène s’inspireront de tous les détails de nos existences. Des cadres signifiants, où parfois l’oeil navigue pour aller chercher ce qu’il veut voir, une lumière douce, un traitement simple, coulant comme une évidence.

Je veux aussi transmettre au spectateur une impression de vérité, en favorisant dans tous les domaines du film la sincérité, naviguant de manière fine entre la profondeur et la légèreté. Cette impression de naturel, de vérité, sera également renforcée par le choix des décors et des costumes. Tous les départements artistiques s’efforceront d’achever cette vision et d’embarquer le spectateur dans un univers qu’il connaît bien : celui de la vie, si belle et si cruelle parfois.

Au niveau de la direction d’acteurs, je favoriserai aussi la sincérité des sentiments humains. Pour moi, les choses importantes passeront autant par les regards et les attitudes, que par les dialogues, pour apporter au film une vraie profondeur.

Plus qu’un film sur la mort, je veux faire une ode à la vie, un film qui fait réfléchir, et dont les personnages nous ressemblent et nous rapprochent par notre humanité commune.


Lorenzo Gabriele
Auteur – Réalisateur
TV Mag

DES ROSES EN HIVER

France 2 réussit le pari d'aborder la fin de vie avec Des Roses en Hiver, une fiction qui raconte comment Jean (épatant Jean-Pierre Marielle), atteint d'une maladie incurable décide de stopper son traitement alors que sa femme, Madeleine (Mylèene Demongeot) est bien décidée à le suivre...

Les décisions du vieux couple, dont la tendresse rayonne, vont bouleverser leurs trois enfants, qui vivent ce choix de façon différente. Loin d'être larmoyante, cette fiction sur la mort respire...la vie !

Avec une certaine finesse, elle incite le téléspectateur à une réflexion intime sur le droit de chacun à mourir dans la dignité.

 
groupe25images.fr

Des roses en hiver au Festival de La Rochelle 2014

DES ROSES EN HIVER : entretien filmé avec Sylvette Frydman productrice, Lorenzo Gabriele réalisateur, Mylène Demongeot, François Vincentelli, acteurs et Anne Valton, scénariste
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