Réalisateur
Générique début
Une production
Flach Film
Avec la participation de
France 2
et
France 5
Produit par
Agnès Vicariot
Jean-François Lepetit
Un film de
Emilio Maillé
UN 8 JUILLET A SEVILLE…
Générique fin
UN 8 JUILLET A SEVILLE…
Avec
Michel Hidalgo
Dominique Rocheteau
Didier Six
Gérard Janvion
Alain Giresse
Marius Trésor
Christian Lopez
Jean-Luc Ettori
Maxime Bossis
Patrick Battiston
Karl-Heinz Rummenigge
Klaus Fischer
Wolfgang Dremmler
Harald Schumacher
Ulrich Stielike
Charles Corver
Un film de
Emilio Maillé
Produit par
Agnès Vicariot
Jean-François Lepetit
Montage
Anne Bettenfeld
Entretiens préparés et menés par
Marc Habib
Musique originale
Jean-Marie Senia
Commentaire écrit par
Jacques Durand
Dit par
François Marthouret
Mixage
Jean-Guy Veran / Mac’Tari
Image
Bernard Chamberlin
Meryem De Lagarde
Jean-Gabriel Leynaud
Son
Bernard Aubouy
Renaud Martin
Assistante monteuse
Armelle Vieillot
Assistant image
Sébastien Naar
Banc-Titre
Jean-Noël Delamarre
Enregistrement musique
Studios Glockenspiel
Guitare Solo
Frédéric Jacqmin
Piano solo
Jean-Marie Siena
Conformation
Armindo Leitao
Assistante réalisation pour l’Allemagne
Barbel Lange
Documentaliste
Christine Loiseau
Régisseur Espagne
Nacho Santamaria
Electricien Espagne
Victor Ruiz Padilla
Photographe de plateau Espagne
Juan Carlos Cazalle
Régisseur France
Philippe Plunian
Attachée de presse
Audrey Dauman
Secrétaire de production
Aurélie Mazureau
Administrateurs de production
Muriel Rannou-Cusey
Jean-Pierre Billard
Archives
FIFA
INA
RTVE
Photographies
Presse Sports
Jean-Denis Walter
Didier Levieil
Remerciements
Marc Habib
pour son intuition et son amitié
Antonio Perez / Maestranza Films
Enrique Sevilla
Parc des Princes / Lionel Dreksler
Air France
Carole Solive
Pierre Albaladejo
Marie Rocheteau
Emmanuel Bodson
Etienne Bimbenet
Jean-Jacques Dessaux
France 2
Unité des programmes documentaires
Yves Jeanneau
Anne Roucan
Administrateur de production
Anh Roquet
Atelier de production
Clotilde Beslon
En association avec
France 5
Unité Documentaires
Muriel Rosé
Olivier Guiton
Philippe Le More
Avec la participation
du Centre National de la Cinématographie
Et le soutien de la
PROCIREP
© FLACH FILM MMII
REVUE DE PRESSE
UN 8 JUILLET A SÉVILLE
« Pour le spectateur, la première qualité du documentaire d’Emilio Maillé est de confronter la mémoire idéalisée de cette soirée avec sa réalité. L’étonnement commence dès l’arrivée des joueurs au stade… Mais la plus belle part du film tient dans les souvenirs des joueurs et de leur entraîneur, Michel Hidalgo, réunis, vingt ans après, sur la pelouse du stade Sanchez Pizjuan… »
UN 8 JUILLET A SÉVILLE
« Pour le spectateur, la première qualité du documentaire d’Emilio Maillé est de confronter la mémoire idéalisée de cette soirée avec sa réalité. L’étonnement commence dès l’arrivée des joueurs au stade…Mais la plus belle part du film tient dans les souvenirs des joueurs et de leur entraîneur, Michel Hidalgo, réunis, vingt ans après, sur la pelouse du stade Sanchez Pizjuan… »
(Libération, samedi 6 Juillet 2002)
« Les seuls grands absents de ce documentaire exceptionnel sont Platini et Tigana. Peut-être n’ont-ils pas souhaité revenir sur une blessure pas tout à fait cicatrisée ? »
(Le Parisien, samedi 6 Juillet 2002)
« Vingt ans après, Charles Corver, l’arbitre, exprime pour la première fois ses regrets, tout en confirmant « n’avoir rien vu », et pour cette raison, avoir accordé le bénéfice du doute à Schumacher ».
(VSD, jeudi 4 Juillet 2002)
« Sur le banc, je disais à des joueurs : « c’est bizarre, le gardien me paraît énervé ce soir.
On le sentait excité et même violent dans se interventions…Je me suis dit qu’il ne faudrait pas l’approcher de trop près.. ».
(Patrick Battiston, juillet 2002)
« Ce match, c’est comme une braise, il suffit de souffler dessus pour la raviver… »
(Alain Giresse)
"Durant ma carrière, je ne me suis pas ménagé. J’ai eu les doigts, le nez cassé, les côtes, des commotions cérébrales, j’ai été touché à la carotide… Je suis dur, mais surtout avec moi-même. Si cette balle devait être rejouée aujourd’hui, je m’avancerais de la même façon qu’en 1982… Je suis désolé pour ce qui passé ensuite".
(Harald Schumacher)
" Je n’étais pas bien placé, j’étais dans l’alignement des joueurs. Je pensais que c’était une action totalement involontaire, sans intention de blesser Battiston. Plus tard, en regardant le ralenti depuis l’arrière du but, j’ai changé d’avis".
(Charles Corver, arbitre)
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