MY SON FROM ANOTHER PLACE

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MY SON FROM ANOTHER PLACE

Coline, a teacher and the mother of two teenage children, plays a key part in the "A child, a roof, a life" operation; her task is to supervise the arrival in her town of a group of children, refugees from a war-torn Balkan country. Their parents are dead or missing and a charity has taken them under its wing. Pascal, Coline's husband, is against the idea of taking one of the children in their own home and she has gone along with this… But when the families leave with their protégés, they discover that there is still one boy without a place to stay: his name is Anton and he seems to be about 16. Faced with this emergency, Coline overrides her husband's veto and takes Anton home with her, "until they find a solution." He ends up staying six months. The presence of this unusual teenager will change the family's relationships, opposing husband and wife, parents and children. They will emerge from this period of confusion more mature and richer, with the irreplaceable notion that their lives are of some use. This experience takes Coline through a long period of inner turmoil. She is given a "third child" who is then taken from her again. She takes him in, cares for him and loves him, then lets him leave, at the risk of losing him for good… Her efforts won't be in vain. For, through the eyes of her family, Coline discovers a new depth to her existence, a both graver and more joyous dimension.

Images du film

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REVUE DE PRESSE

« Clémentine, le charme instantané » de Gaëlle TOURNIER - Sud-Ouest - 10/01/05

C’est aux alentours de 10 heures, que Clémentine Célarié a franchi les portes de la salle Némo, fleurs aux bras […]

« Clémentine, le charme instantané » de Gaëlle TOURNIER - Sud-Ouest - 10/01/05

C’est aux alentours de 10 heures, que Clémentine Célarié a franchi les portes de la salle Némo, fleurs aux bras et sourire aux lèvres. Samedi matin, l’actrice, venue tout droit de Aix en Provence, a souhaité assister à l’avant-première de « Mon fils d’ailleurs » dont elle partageait la vedette, ce jour-là, avec Angoulême et tous les figurants qui ont participé au téléfilm.

Tourné l’été dernier dans les quartiers de la vile, « Mon fils d’ailleurs » est un produit purement local. Un choix au hasard ? « Oui et non, répond le réalisateur, Williams Crépin. En 2003, j’ai découvert les Charentes, lors du tournage des « Monos ». Lorsque j’ai écrit « Mon fils d’ailleurs », je souhaitais situer l’action dans une ville moyenne en Province. J’avais déjà filmé à Angoulême et j’avais une idée très précise de la qualité des figurants ».


Le scénario écrit, il s’adresse à Clémentine Célarié pour le rôle principal. « On s’est rencontrés autour d ‘une table, avec huîtres au menu. Clémentine avait lu le synopsis. Je lui ai demandé d’être moins jolie que d’habitude. Elle a dit « oui » tout de suite ». Moins jolie ? Chassez le naturel, il revient au galop : quand Célarié incarne une mère de famille sans ambages, c’est une madone à l’écran. Un rôle sur mesure pour l’actrice qui s’est totalement identifiée à Coline, professeur de piano et mère de deux adolescents, taraudée par un dilemme : faut-il ou non accueillir Anton, réfugié d’un pays des Balkans en proie à la guerre ? Elle choisit contre l’avis de son mari (Didier Bezace) d’accueillir Anton (Guillaume Romain), un adolescent pour le moins mystérieux.


 


La satyre des justes.





 


« J’ai voulu faire un film sur la bonne conscience, mais sans didactisme, explique Williams Crépin. L’histoire du film est en partie autobiographique. En Normandie, où j’habite, des habitants ont accueilli des enfants bosniaques dans le cadre d’un séjour humanitaire. Les enfants ont été absorbés par un quotidien qui leur était totalement étranger. A ce moment là, je me suis demandé qu’elle était la pertinence de cette action. Je suis persuadé qu’il est nécessaire d’engager des actions humanitaires, mais pas n’importe comment. Les pauvres ne nous appartiennent pas ».


« Mon fils d’ailleurs », s’il soulève des problèmes d’actualité n’en reste pas moins une comédie ou l’émotion côtoie allègrement le rire et la légèreté. Avec une mention spéciale pour Didier Bezace, dont chaque apparition (mari bougon, père attentif et maladroit ou chauffeur de bus syndiqué) souligne et accompagne finement le charme Célarié. Un téléfilm tout public, à ne rater sous aucun prétexte sur France 2 en 2005 (diffusion en 2005, date précise non communiquée) pour une ballade insolite dans un Angoulême, version petit écran.



 


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