• C’est la première fois que l’on me propose un rôle aussi dramatique. Je suis un personnage désespéré et alcoolique. Mais j’apparais dans presque tous les films de Gérard Krawczyk. Nous avons une véritable complicité. Il me fait faire des choses incroyables ! Me battre avec Éric Cantona, moi ?

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  • J’ai beaucoup appris sur le métier de comédien en me retrouvant de l’autre côté de la caméra, à guetter le moindre geste, le moindre regard du metteur en scène. De plus les comédiens composent très vite une famille. Ici, très naturellement, la famille qui était dans la fiction se recomposait hors champ. Mais le film soulevait aussi la fragilité de nous tous. C’est pour cela qu’on était très proches, très soudés.

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  •   Sylvain Madigan par Claude Chabrol La dérisoire question : film d’auteur ou pas, cesse de se poser dès qu’un auteur de film apparaît. C’est le cas de Sylvain Madigan et de Sale Destin. Quel spectateur irait s’interroger sur l’identité du responsable en recevant sur la rétine cet univers implacable et dérisoire, ces personnages abominables […]

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  • En voyant le film, maintenant, je trouve cette histoire incroyablement juste. Je vais dans de petits villages où l’on retrouve la rivalité entre deux bistrots, ou encore ce lien incroyable qu’est le cimetière.
    Entre les vivants et les morts et, entre les vivants. Je retrouve ce que je vis, un échantillon d’humanité concentré sur la place d’un village. Avec une dimension surréaliste, mais dans la vie, il y aussi une part de surréalisme.

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  • Les adultes veulent cacher des tas de choses aux enfants, alors qu’ils laissent traîner sous leurs yeux une multitude d’indices, ou parlent avec des périphrases qui ne font qu’accroître leur trouble et leur curiosité. Ils forcent l’enfant à reconstituer la vérité avec sa propre logique, c’est à dire à fantasmer sur des faits qui ne devraient pas l’inquiéter. Il y a chez les adultes un comportement pervers qui consiste à prendre l’enfant à témoin pour se valoriser.

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  • Je voulais que le film aille au-delà du problème de l’inégalité des sexes. De même, il ne s’agissait pas pour moi à travers l’histoire d’Ahmed, de traiter du Maghreb en termes d’intégration ou de rapports de force. Je ne cherche pas à faire une analyse approfondie de ces sujets, je préfère expérimenter la matière du rêve et pousser à bout certains paradoxes de la nature humaine.

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  • « Pour le spectateur, la première qualité du documentaire d’Emilio Maillé est de confronter la mémoire idéalisée de cette soirée avec sa réalité. L’étonnement commence dès l’arrivée des joueurs au stade…
    Mais la plus belle part du film tient dans les souvenirs des joueurs et de leur entraîneur, Michel Hidalgo, réunis, vingt ans après, sur la pelouse du stade Sanchez Pizjuan… »

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